Pourquoi je suis devenu un Individu Ciblé !

Pourquoi les proprietaires ?

Je lui ai expliquer, que j'avais d'abord découvert que les propriétaires me volaient mon électricité, car mon compteur EDF, disjonctait constamment lorsque les propriétaires étaient présent et qu'il me fallait réactiver mon disjoncteur. C'est comme ça que j'ai découvert qu'ils étaient branchés sur mon compteur ! Car en réactivant le disjoncteur, leur grosse chaudière se mettaient sous tension électrique et a l'inverse lorsque je coupait mon disjoncteur, cette chaudière s'éteignait.
Ils pouvez par exemple utiliser leur grosse scie électrique qui faisait constamment disjoncter mon compteur.
Je lui ai dit que quand le père, était là, ils n'en abusaient pas mais lorsqu'il n'y avait que la femme et le fils, c'était joyeux, cela n'arrêter pas de disjoncter.
Je l'ai fait constater a tous ceux qui venaient chez moi ainsi qu'au Maire de la commune et d'une de ses conseillères municipal.
J'ai donc fait constater au Maire et a sa conseillère, comment la chaudière des propriétaires, s'allumer / s'éteignait par la mise en marche / arrêt, de mon compteur et ce soir là précisément en rentrant chez moi aux alentours de 22 heures, j'ai constater environs 5 véhicules inconnus dont l'un était immatriculer dans le 76 et un véhicule de France Télécom, tous étaient garés en marche avant et en direction de ma porte d'entrée.avec l'avant des véhicules, juste en face de ma porte d'entrée, tandis que leur parking était vide !
Pendant que j'ouvrais ma porte d'entrée, j'ai eu les poils de la joue gauche hérissés et j'ai ressentie une brûlure sur cette joue. Cette brûlure subite m'a bien gêner toute la soirée alors que j'étais occupé a dialoguer avec une amie sur Internet.

Dans l'audition, la gendarme a noter quelque chose comme : on m'a attaquer avec une arme a ondes.

Je n'ai pas dit cette phrase, non plus, j'ai décrit une situation, les faits d'une journée.

Lorsque je lui ai expliquer l'entretien avec le maire et la conseillère après leur avoir fait constater le branchement illicite sur mon compteur, je lui ai dit que le maire, m'avait dit a moi qui venait d'arriver dans cette commune, moi qui socialement n'étais personne, « je vous fais confiance », « vous ne pouvez rien faire de toute façon, vous n'avez pas les reins assez solides, il faut nous laisser faire, on s'en occupera ». Je leur avait répondu, que je ne me laisserai pas faire.

Il a ajouté qu'il se renseignerait auprès des ouvriers EDF, qui étaient en chantier dans la commune.

J'ai donc rajouté a la gendarme, que l'on pouvait normalement plutôt s'attendre a ce que le maire, qui compte des gens deux fois noble dans sa commune et qui possèdent un manoir, réagisse plutôt a croire ces "notables" ! Et que l'on pouvait comprendre dans « je vous fais confiance » plutôt, « je les connais ... ».

Je n'ai pas réussi a lui faire écrire plus qu'une allusion bredouillante sur le passage du maire.
De même, qu'il n'y a aucune trace, de la constatation faite par EDF a ma demande et pour lequel, je n'ai eu aucun papier, ni du fait que je soit passé au commissariat dans le but de porter plainte et que lorsque le policier, m'a dit décider vous, j'envoie des collègues les placer en garde a vue, je n'ai rien fait non plus. J'ai dit a la gendarme, que j’étais humain que je n'avais pas voulu les faire placer en garde à vue.
J'ai expliquer a la gendarme comment j'étais passé d'une assistante social que j'aimais bien a une dont je ne voulait pas et qui plus tard c'est révélé être au courant de se que je disait au propriétaire.
J'allais voir exprès l'assistante social madame LD avec qui j'avais des affinités, le jour de sa permanence le mardi il me semble.
Un jour ou j'attendais mon tour, j'étais assis a quelques mètres du bureau d'accueil du CCAS de Nangis, dont les parois sont vitrés avec la porte vitré grande ouverte, j'étais assis sur le siège le plus proche de cet accueil et je ne pouvait rien raté de se qui s'y disait a voix normale.
J'ai vu Mme LD sortir de son bureau qui est coller a l'accueil et aller demander, les deux bras appuyés sur le bureau, a qui c’était le tour.
Ainsi je suis rester bouche bè en entendant dire par la jeune femme de l'accueil, que : « c'est Mr A, il a demandé a ce que son dossier soit suivi par quelqu'un d'autre » !
C'était tellement énorme de dire cela que je n'ai pas su réagir devant ce mensonge dit quasiment son mon nez !
Mme LD a ensuite été dans son bureau, elle y est resté quelques secondes, puis elle en ai sorti et elle est venu me voir et elle m'a dit « Bonjour Mr A» et elle est retourné dans son bureau !
J'étais abasourdi par le culot de cette jeune de l'accueil et je n'ai pas su réagir ...
C'est ainsi que j'ai consenti a contre cœur, cette assistante social mme LM.
A l'époque je m'expliquais cela par de la jalousie de femmes au travail.
Ensuite au cours des entretiens avec cette nouvelle assistante social LM, je me suis rendu compte qu'elle était au courant de choses dont je n'avais parler qu'avec le propriétaire.
La deuxième fois où j'ai remarqué cela, je lui ai demandé mais comment vous savez ça et elle m'a répondu, c'est vous qui me l'avait dit. Évidement Non !
La troisième fois, cela concerner mon ballon d'eau chaude. Le propriétaire était venu me voir, mécontent en me disant qu'il avait un problème d'alarme et que si ça venait de mon Internet il me le ferait coupé !
Car j'avais récemment fait raccorder la ligne téléphonique a l'appartement qui en était dépourvu a mon arrivé.
Cela m'avait d'ailleurs coûté 150€, si mes souvenirs sont exacts.
Je lui avait fait remarqué que tout récemment il y avait eu la foudre et que le ballon d'eau chaude avait disjoncter. Seulement nous deux étions au courant de cette conversation !
Et a nouveau LM, me parle de l'incident de mon ballon d'eau chaude …
S'en était suffisant elle avait obligatoirement été en rapport avec le propriétaire.
J'ai donc décider de ne plus l'avoir comme assistante social.
Puis elle m'a fixé un dernier rendez vous, celui-ci a Provins et elle m'a présenté un homme d'une cinquantaine d'année comme étant son assistant.
Lors de cet entretien, cet homme m'observait, sans pratiquement pas intervenir.
J'ai bien compris que c'était une sorte de psy.
Cette assistante LM, faisait tout pour me mettre hors de moi, me parler de sujet qui n'avait rien a voir comme, pourquoi forcer votre fils a faire du judo alors qu'il veut faire du tir a l'arc ?
Je lui expliquait alors, que nous étions allez voir pour le tir a l'arc, que ce n'était pas la saison et que le judo, lui serait plus utile dans sa vie que du tir a l'arc, mais que je ne l’empêcherait sûrement pas de faire du tir a l'arc et que de toute façon, il arrêtait le judo en fin d'année.
Elle continuait en insinuant que c'était de ma faute si j'avais une telle facture EDF, elle n'entendez pas que les propriétaires étaient branché sur mon installation électrique.
Elle était comme hystérique et elle a seulement réussi a me rendre mécontent de cet entretien et
puisque c'était de ma faute d'après elle, alors j'ai dit que j'allais porter plainte !
Et c'est a partir de ce jour, que les anomalies de harcèlements quotidiens, ont commencer et je suis devenu un Individu Ciblé par le gang stalking depuis ce jour !
Ce que de mémoire, a noter la gendarme : « j'ai remarquer a trois reprises, qu'elle savait ce que je disait au propriétaire »
Phrases que je n'ai pas réussi a lui faire retirer alors que ce que j'ai dit est différent :

Pourquoi êtes vous parti de Savins :

La gendarme a écrit : parce que le fils était fou.

Alors que j'ai dit : « Pour ma sécurité et celle de mon fils et de mes animaux »

J'ai essayer a ces 3 reprises, de lui faire retirer cette phrase, sans y parvenir !
J'explique pourtant plus bas, comment j'ai dit « il avait un regard de fou ».

Elle avait écrit : « qu'il n'avait rien a faire là » !

Alors que Non, j'ai dit qu'il n'était pas censé être là

C'est fort quand même !
J'ai réussi a faire enlever ou modifier cette dernière phrase.
Voila comment la gendarme avait résumé l'explication suivante :
J'étais parti de Savins, car je ne pouvais plus dormir tranquille, que j'étais réveiller en pleine nuit par des coups a ma porte d'entrée ou bien a la fenêtre de la salle de bain, ou bien encore par un cri, provenant de leur appartement juste au dessus de mon logement, disant « dégage ! »
Et qu’apparemment il était censé n'y avoir personne dans leur manoir, car tous les volets étaient fermés, qu'il n'y avait pas leur voiture et qu'il n'y avait aucun signe de vie, sauf qu'un jour alors que mon beau frère est passer me voir, le fils est sorti directement d'une porte près de mon logement.

Ce jour là, il n'était pas censé être là ! Et non pas qu'il n'avait rien a faire là.

J'ai raconté brièvement, qu'une fois j'avais appeler la gendarmerie de Donnemarie Dontilly, car quelqu'un avait essayer de me faire sortir la nuit du coté totalement sombre et avait insister (…)
et que le lendemain matin, alors que mon fils dormait depuis peu chez ma mère pour sa sécurité et sa tranquillité, j’avais trouvé un vieux journal, où était représenté au centre, sur la couverture deux visages d'hommes politiques et sur les bords un article sur les chômeurs et un article sur le piratage informatique.
Les deux visages du journal étaient criblés de coups. Ce journal était scotcher a un arbre en face de ma porte. Je suis aller voir de plus près et j'ai ensuite pris ce journal.
Puis j'ai vu alors leur fils caché derrière sa porte et je lui ai dit « ha c'est toi qui fait ça »
Alors j'ai parler assez fort, cet arbre n'était pas loin du coté de la rue de façon a ce que des voisins m'entendent dire, c'est toi qui a fait ça, c'est une menace ? Alors il a appeler des membres de sa famille, un couple de retraités, embarrassé est venu, ils ne tenait pas du tout a ce que je parle trop fort, je leur ai expliquer que la veille quelqu'un avait essayer de me faire sortir la nuit, par derrière.

La dame qui parlait doucement, m'a demandé mais pourquoi on voudrait vous faire sortir dehors la nuit, alors je lui ai retourné la question en lui disant oui madame ! Pourquoi ?

Puis alors que je pensait que les impacts dans le journal était le fait de flèches d'arc, car je l'avais déjà vu tirer a l'arc, il leur a dit penaud, que c'était la carabine !

Et c'est là que j'ai dit que ce matin là, il avait un regard de fou !

Ensuite j'ai donc appeler la gendarmerie de Donnemarie Dontilly et un gendarme, m'a dit « il faut venir monsieur », comprenant que c'est sérieux, qu'il fallait que je passe a la gendarmerie ! Mais je n'y suis pas allé …
Je lui ai dit aussi que j'avais été gazé a Savins mais aussi a Provins, non seulement moi mais mes animaux.
Mes chats avait de long fils de « bave » qui leur coulait du nez et le chien, renâclait et se passait les pattes sur les yeux.
Car nous avions tous le nez qui piquait et qui coulait abondamment, les yeux qui piquaient et la gorge aussi.